Sunday, December 6, 2015

La loi, c'est la loi

La loi, c'est la loi (La legge è legge) est un film franco-italien de Christian-Jaque sorti en 1958.


Synopsis
Fernandel et Totò dans La loi, c'est la loi (1958)
Le village d'Assola est curieusement découpé par les méandres de la frontière franco-italienne. Le douanier français Ferdinand Pastorelli fait respecter la loi tandis que son ami d'enfance, le contrebandier Giuseppe La Paglia, ne cesse de la violer. De plus leur intimité est liée au fait que Giuseppe a épousé Antonietta la première femme de Ferdinand, lequel a convolé en secondes noces avec Hélène.

Lorsque Giuseppe découvre que la pièce où est né Ferdinand est en Italie, il le fait savoir, ce qui met le douanier dans une singulière et fâcheuse situation: cela remet en cause son état civil et sa nationalité française. Considéré tour à tour comme bigame, déserteur ou apatride, il est obligé de prendre le maquis. Mais comme les contrebandiers ont toujours besoin des douaniers, Giuseppe, lorsqu'il l'apprendra fera éclater la vérité pour réhabiliter son ami Ferdinand: la pièce où Pastorelli est né n'était pas en Italie à l'époque mais bien en France. Aussitôt libéré, Ferdinand se mettra à pourchasser de plus belle Giuseppe car italien ou français, "la loi, c'est la loi".

Fiche technique
Titre français : La loi, c'est la loi
Titre italien : La legge è legge
Réalisation : Christian-Jaque
Scénario : Jacques Emmanuel, Jean-Charles Tacchella, adapté par Christian-Jaque, Jean-Charles Tacchella, Agenore Incrocci, Furio Scarpelli et Jean Manse
Dialogues : Jacques Emmanuel, Jean Manse
Décors : Giani Polidori
Costumes : Pia Marchesi
Image : Gianni Di Venanzo
Son : William-Robert Sivel et O. Delgrande
Montage : Jacques Desagneaux
Musique : Nino Rota
Production : Alfredo Bini, Robert Chabert, Franco Cristaldi, Georges Dancigers, Alexandre Mnouchkine
Sociétés de production : Films Ariane, Filmsonor, France-Cinéma-Production (Paris) ; Vidès (Rome)
Société de distribution : Cinédis
Pays : France / Italie
Langues : français, italien
Durée : 95 minutes
Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - Son mono
Dates de sortie : Drapeau de la France France : 17 septembre 1958

Distribution
Fernandel : Ferdinand Pastorelli
Totò : Giuseppe La Paglia
Noël Roquevert : le gendarme Malandin
Anna Maria Luciani : Marisa
Henri Crémieux : M. Bourride
Albert Dinan : le brigadier Pelotti
Henri Arius : le maire
Jean Brochard : le député Bonnefoud
René Génin : M. Donadieu
Nathalie Nerval : Hélène Pastorelli
Leda Gloria : Antonietta La Paglia
Nino Besozzi : Maresciallo
Luciano Marin : Mario
Gustavo De Nardo : Luigi

Production
Le tournage a eu lieu du 4 novembre 1957 au 8 février 1958, sur la côte d'Azur et en Italie.
Le village de Venafro, région de Molise province de Isernia, en Italie, devint le temps du tournage le village d’Assola.

Wednesday, November 11, 2015

Les trois font la paire

Les trois font la paire est un film français coréalisé en 1957 par Sacha Guitry et le producteur Clément Duhour.


Synopsis
Un acteur de complément (Jean Rigaux) a été assassiné à Montmartre durant les prises de vue d'une comédie tournée par un réalisateur metteur en scène farfelu, Henri Valpreux (Darry Cowl).

À la grande joie de son épouse (Pauline Carton), toute fière d'être la compagne d'un nouveau Maigret, le commissaire Bernard (Michel Simon) est aussitôt chargé de l'enquête. Les investigations s'annoncent difficiles face aux témoignages divergents des trois témoins directs, le réalisateur Valpreux, le producteur Duval (Gilbert Boka) et le machiniste Dumont (Emile Genevois).

Jusqu'au moment où l'on s'aperçoit que la caméra, n'ayant cessé de fonctionner, a enregistré le crime... et, partant, son auteur. Le commissaire Bernard et les policiers de la PJ se réjouissent, mais doivent déchanter tout aussi vite : ils tiennent désormais deux suspects, l'un et l'autre clowns à Médrano (Philippe Nicaud), visiblement jumeaux et avouant chacun le crime lors de leur face à face avec le commissaire Bernard, peut-être dans le seul but de disculper l'autre.

Une sémillante prostituée (Sophie Desmarets) qui a passé la nuit avec l'assassin, sera même appelée à la rescousse pour tenter d'identifier le seul auteur du crime, tandis que le vrai coupable, une petite escarpe (Philippe Nicaud dans son troisième rôle), véritable sosie des jumeaux échappe à la police jusqu'à ce que la pègre, dont il vient juste d'intégrer les rangs, décide de l'éliminer devant l'ampleur médiatique de l'affaire, afin de se protéger.



 Fiche technique
Réalisation : Sacha Guitry et Clément Duhour
Scénario, adaptation et dialogues : Sacha Guitry
Assistants réalisateurs : Gérard Renateau et Jean-Claude Devernet
Images : Philippe Agostini
Cadrage : Jean-Marie Maillols et Raymond Letouzey
Son : Jean Bertrand
Enregistrement : Omnium sonore, procédé Euphonic, studios Decca
Musique : Hubert Rostaing
Direction musicale : Pierre Spiers (éditions musicales : Tour Eiffel)
Montage : Paulette Robert
Décors : Raymond Gabutti, assisté de François de La Motte
Maquillage : Louis Dor
Photographe de plateau : Jean Klissak
Script-girl : Colette Thiriet
Régisseur : Charles Lahet
Répétitrice : Flore Florenne
Ensemblier : Roger Bar
Affichiste : Clément Hurel
Durée : 85 minutes
Format : Son mono - 35 mm - Noir et blanc
Production : Clément Duhour, Alain Poiré pour C.L.M et S.N.E Gaumont
Directeur de production : Gilbert Bokanowski
Distribution : Gaumont
Administrateur général : Pierre Aubart
Tournage du 21 janvier au 11 février 1957, réalisé aux studios François Ier
Les meubles viennent des Galeries Barbès
Tirage : Laboratoire G.T.C. de Joinville
Première présentation le 17 mai 1957 aux cinémas Gaumont Palace et Aubert
Visa d'exploitation : 19.057
Distribution[modifier | modifier le code]
Sacha Guitry : Lui-même en présentateur-narrateur (générique et fin)
Michel Simon : Le commissaire Bernard
Pauline Carton : Eveline Bernard
Sophie Desmarets : Albertine Piédeloup, dite Titine
Jean Rigaux : Marcel Bornier, le cabot
Darry Cowl : Henri Valpreux, le réalisateur
Clément Duhour : M. Jean, le chef
Philippe Nicaud : Jojo, Teddy and Partner
Jane Marken : Georgette Bornier
Robert Dalban : L'inspecteur Walter
Gilbert Boka : Duval, le producteur
Julien Carette : Léon, le patron du bistrot
Christian Méry : Ernest, un gangster
André Numès Fils : Le secrétaire du commissaire Bernard
Yvonne Hébert : Madame Walter
Jacques Ary : Un gangster
André Chanu : Agostini, le chef opérateur
Emile Genevois : Dumont, le régisseur
Henry Djanik : Bébert, un gangster
Jacques Famery : Le clown
Claude Larry : Un agent
Jean Dunot : Un planton
Fernand Bellan : L'inspecteur Ravaud
Jeff Patnicelli : L'inspecteur Goulot
Roger Royer * : Un agent (cf. discussion)

Autour du film
Sacha Guitry était déjà très malade quand il réalisa ce film. Il semble de fait que Duhour ait dirigé la quasi-totalité des prises de vue au nom de Guitry, et que ce dernier ait été finalement très peu présent sur le plateau.
Michel Simon joua dans ce film par amitié pour Sacha Guitry, qui était mourant, malgré le scénario qu'il n'appréciait pas.
Sacha Guitry apparaît au début du film, en prologue sous forme d'un appel téléphonique de son ami d'enfance Albert Willemetz, ainsi que brièvement à la fin en guise de conclusion, ce sera sa dernière apparition à l'écran. Il verra la sortie de son dernier film, et meurt quelques semaines après.

Wednesday, August 19, 2015

En avant la musique

En avant la musique (film, 1962)


En avant la musique (titre original : Il cambio della guardia) est un film franco-italien réalisé par Giorgio Bianchi, sorti en 1962.
Certaines scènes auraient été tournées par Sergio Leone.



Synopsis
Dans un petit village, entre Rome et Naples, les Alliés sont sur le point de faire leur entrée triomphale. Mario Venicio, maire nommé par les fascistes, pense à la libération et juge plus prudent de confier sa difficile place à son ami d'enfance Attilio Capellaro, antifasciste notoire dont le fils est fiancé à sa fille Aurora. D'abord réticent, Attilio finit par se laisser convaincre.



Fiche technique
Titre : En avant la musique
Titre original : Il cambio della guardia
Titre alternatif : Avanti la musica
Réalisation : Georges Bianchi et participation (probable) de Sergio Leone
Scénario : Albert Valentin, Jean Manse, d'après le roman de Charles Exbrayat
Dialogue : Raymond Castans
Production : Aldo Pomilia
Sociétés de production : Paris Élysées Films, Films Cocinor, Transworld Productions (Paris) - Apo Films (Rome)
Musique : Mario Nascimbene, Prato Valabrega (chanson Ce una casetta piccina)
Photographie : Luciano Aquari
Montage : Maurizio Lucidi, assisté de Nella Nannuzi
Décors : Sergio canaveri
Costumes : Fiammetta Petrucci
Maquillage : Franco Freda
Son : Ovidio del Grande
Conseil artistique : Jean Bastia
Cadre : Emilio Giannini, assisté de Eolo Capritti
Assistant réalisation : Aldo Florio, Milo Panaro
Direction de l'orchestre : Alexandre Derevitsky
Direction de production : Alessandro Tasca
Production déléguée : Franco Dodi, Orlando Orsini
Secrétariat de production : Tony Selvaggi
Format : Noir et blanc - 35mm
Genre : Comédie, film musical
Durée : 90 minutes
Date de sortie : 28 décembre 1962 (Belgique), 22 février 1963 (France)
Tournage de mai à Juillet 1962 en Italie

Distribution
Fernandel : Attilio Capellaro, l'aubergiste
Gino Cervi (V.F : Jacques Eyser) : Mario Venicio, le maire du village
Franck Fernandel : Gianni Capellaro, le fils d'Atilio
Milla Sanover : Aurora Venicio, la fille du maire
Guiseppe Fortis : Luciano Crippa, le leader fasciste assassiné
Franco Parenti : Virgili
Andréa Aureli : Luciano Mezzanotte, l'Officier Fasciste
Dada Gallotti : Silvana Crippa
Gérard Herter : Officier Allemand
Amélia Perrella : Bianca Vinicio, la femme du maire
Giuseppe Giannetto : Don Fausto le Prêtre
Piero Vivaldi : Vernazzo
Jimmy il Fenomeno (V.F : Rellys) : Balayeur Municipal
Silla Bettini : un soldat fasciste
Gustavo De Nardo : un conseiller municipal

Anecdotes:
A Anzio, Fernandel retrouve son ami Gino Cervi, qui sera son partenaire. Avec Raymond Castans, responsable des dialogues, il parle de Pagnol pendant des heures. Ils saluent avec plaisir Elisabeth Taylor et Richard Burton, venus tourner quelques extérieurs de Cléopâtre, monstrueuse producton hollywoodienne (et gigantesque navet, soit dit en passant).
Jacques LORCEY, Fernandel, 1981.

La direction est d'abord confiée au célèbre cinéaste Luigi Zampa qui a été, pendant la guerre, un auteur très fécond de scénarios pamphlétaires. A la suite de différents, zampa cède la place à Giorgio Bianchi, spécialiste du pastiche sentimental, ami de Toto et metteur en images de ses derniers films. Bianchi se sent assez peu concerné par cette adaptation tragi-comique d'un roman policier et politique. Mais Bianchi deviendra par la suite, le célèbre Sergio Leone!
Au côté du célèbre comédien français paraît pour la première fois Franck, son fils, alors âgé de 27 ans. Jusqu'alors la vedette s'était montrée intraitable, refusant net une telle éventualité: "Il n'y aura pas 2 Fernandel ou un Fernandel II sur les affiches!"
Hélas, à sa sortie d'ailleurs très discrète, en février 1963, Avanti la musica connaît un échec retentissant. C'est le premier véritable "bide" de la carrière du comique...
Jean-Jacques JELOT-BLANC, Fernandel l'accent du soleil, 1991. 

Friday, August 14, 2015

Ces Messieurs De La Sante

Ces messieurs de la Santé est une comédie satirique française réalisée par Pierre Colombier (Pière Colombier dans le générique), sortie au cinéma en 1934.

Synopsis
Un financier astucieux emprisonné pour une prétendue escroquerie s'évade de la prison de la Santé, prend un faux nom et entre comme homme à tout faire dans un magasin de corsets. Faisant bien fructifier les affaires de sa patronne, il se retrouve rapidement à la tête d'un empire économique.




Fiche technique
Réalisateur: Pierre Colombier. Le générique crédite Pière Colombier.
Scénario et dialogues : Paul Armont et Léopold Marchand, d'après leur pièce.
Décors : Jacques Colombier
Directeur de la photographie : Curt Courant
Montage : Jean Pouzet
Musique : Jacques Dallin
Société de production et de distribution : Pathé-Natan
Format : Noir et blanc – 35 mm
Durée : 115 minutes
Date de sortie  France : 23 mars 1934
Distribution[modifier | modifier le code]
Raimu : Gédéon - Jules Taffard
Edwige Feuillère : Fernande Génissier
Pauline Carton : Madame Génissier
Lucien Baroux : Amédée Floque
Pierre Stephen : Hector Génissier
Yvonne Hébert : Claire
Monique Rolland : Ninon
Guy Derlan : Zwerch
Paul Amiot : le commissaire
Georges Mauloy : le directeur de la police judiciaire
Monique Joyce : la vendeuse
Anna Lefeuvrier : la cliente
Eugène Stuber

Commentaires
Ce film décrit, sur le mode comique et plutôt bon enfant, l'état de déliquescence de la société d'avant-guerre gangrenée par la corruption, les magouilles et l'affairisme débridé.

Wednesday, August 12, 2015

Josette

Josette (film, 1937)
Josette est un film français réalisé par Christian-Jaque, sorti en 1937.


Synopsis
Albert Durandal adopte la fille d'une ouvrière, envoyée dans un sanatorium, et recueille également un vieillard à bout de force qui n'est autre que le richissime Rothenmeier. Ce dernier va devenir le véritable père Noël de ces braves gens, aidant Albert à se faire un nom au music-hall et choyant intensément la petite fille. La jolie maman de Josette, alors guérie, apportera le bonheur à Albert.





Fiche technique
Réalisateur : Christian-Jaque
Scénario, Adaptation et Dialogue : Paul Fékété
Assistants réalisateur : Robert Lavallée, François Carron, Jean Manse
Images : Marcel Lucien, André Germain
Photographe de Plateau : Léo Mirkine
Musique : Vincent Scotto
Chansons : « Célestine », « Ton amour me fait peur », « C'est la fête à tante Aurore », « Aimer, c'est toute ma vie »
Décors : Pierre Schild
Son : Jacques Hawadier
Montage : André Versein
Laboratoire: Eclair Tirage
Producteur: Jules Calamy
Production : Les productions Calamy
Chansons enregistrées aux studios GFFA (Gaumont-Franco-Film-Aubert)
Distributeur à l'origine : Gray-Film
Autres distributeurs : Ciné-France Film, Yunic Films (16mm), Tamasa Distribution
Durée : 90 min
Tournage de septembre à Novembre 1936
Format : Son mono - 35 mm - Noir et blanc - 1,37:1
Genre : Comédie dramatique
Première présentation le 22/01/1937

Distribution
Fernandel : Albert Durandal
Josette Contandin : Josette, la petite fille
Lucien Rozenberg : Le richissime Rothenmeier
Mona Goya : Viviane Eros, la vedette
Jacqueline Prévost : La maman de Josette
Robert Arnoux : Rémy Doré
Andrex : Lucien le journaliste
Anthony Gildès : Le professeur de puériculture
Joe Alex : Bamboula, le domestique
Robert Seller : Emile
Nicolas Amato : Le chanteur des rues
Marcel Laporte
René Lestelly

Anecdotes:
On a vu qu'à n'importe quel contrat au monde, il préfère la présence de sa femme Henriette et de ses trois enfants. D'autant que l'aînée, Josette, vient d'avoir dix ans et réclame toute son attention. "C'est une vraie petite bonne femme! affirme le comédien". Pareil compliment ne tombe pas, comme on dit, dans l'oreille d'un sourd, surtout quand il s'agit de celle d'un producteur: "Et si elle tournait un film avec toi?", propose délicatement M. Calamy. Fernandel en avale presque son pastis de travers. Puis l'idée fait son chemin, avec la malicieuse complicité de la jolie gamine. Il faut souligner que la vedette numéro un de l'époque s'appelle Shirley Temple, une star de huit ans.
Papa Fernandel finit par céder, mais pose plusieurs conditions: premièrement, même si Josette (c'est le titre retenu) est un succès, il n'y aura pas de suite; deuxièmement, sa fille ne devra en aucun cas rater l'école; et enfin, la mise en scène sera supervisée par l'ami Christian-Jaque. Andrex participe à l'aventure et Paul Fékété écrit le scénario, histoire d'une gamine fort maligne et d'un pauvre gars attiré par les feux de la rampe. Presque orpheline, la petite Josette parvient à séduire ce compagnon d'infortune jusqu'à ce qu'il épouse sa maman malade, retrouvée et miraculeusement guérie, interprétée par Jacqueline Prévost. Un "papa" plein d'émotion, lancé assez naturellement par Josette conclura le tout. Larmes furtives et mouchoir, c'est là un mélo à la sauce Charlie Chaplin, rappelant fortement le fameux Kid tourné en 1921.
Pour Fernandel, néanmoins, le pari n'était pas gagné d'avance. "Je me sentais redevenir un débutant durant les prises de vues et il me semblait à chaque instant que je me dédoublais, jouant à la fois le rôle de ma fille et le mien."
L'accueil du public sera des plus chaleureux. A son habitude, la critique acerbe y verra un film de complaisance produit "pour la seule joie familiale de Fernandel qui s'est payé ce petit souvenir cinématographique de sa fille"! Reste sur la pellicule une tendre histoire d'amour comme il en existe malheureusement très peu et gravée dans la vire une merveilleuse chanson, "C'est la fête à tante Aurore", interprétée par Josette et son père. Plus tard, ce sera au tour de Franck, "le pitchoun", de connaitre les joies du duo.
Jean-Jacques JELOT-BLANC, Fernandel l'accent du soleil, 1991.

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